Benalla, sa lettre de licenciement du Ministère d’Arnaud Montebourg
(tirée du rapport d’enquête du Sénat)
– Elle vaut le coup d’œil !
Nous n’avons rien contre Benalla, bien sûr. Cependant, au regard des qualités qui lui firent défaut à l’époque, – manque de : discrétion, responsabilité et tempérance- on ne peut que s’interroger sur…le pourquoi du choix d’Emmanuel Macron !
En somme, sous Montebourg il s’est fait jeter après…1 mois !
Par sa démonstration rapide de son incapacité à occuper les fonctions de chauffeur -non pas uniquement qu’il ait mal conduit le carrosse, mais par manque de qualités premières intrinsèques requises pour cet emploi-, à priori, il aurait dû être grillé partout, surtout dans un Ministère…
Que nenni, on se dit qu’il a eu beaucoup de chance d’être à nouveau embauché (et à quel poste !) pour ensuite être « faussement » sanctionné, puis déplacé à d’autres postes puis finalement licencié dans des conditions…que nous qualifierons d’optimales. Et tout ceci en une année et des brouettes.
Nous passerons sur sa phase de reconstruction, les contrats à travers le monde ça n’est pas ce qui lui a manqué. Parce qu’un Benalla c’est intelligent, et prévoyant : mener en parallèle de l’Elysée une activité privée, il fallait y penser !
Minimiser les faits, faire confiance, le gouvernement en tant qu’employeur a su faire !
Dans la start-up Nation, mieux vaut être un employé sans qualité mais fidèle, que professionnel aux qualités requises dévoué à sa tâche.
Finalement, à comparer Benalla aux lanceurs d’alerte, mieux vaut être loyal envers son patron qu’envers la Nation !
Benalla, c’est « Start-up Nation, parce que tu le vaux bien ! »
MM.