Pour les riches fortunes ou les multinationales, la finalité reste toujours la même. Il faut faire apparaître ses profits non pas où se trouvent leur activité réelle, mais là où ils sont peu – ou pas du tout – taxés. C’est à dire, dans les paradis fiscaux. Près de 8 000 milliards d’euros seraient ainsi détenus dans les places offshore. Pour mieux comprendre les enjeux liés à cette question, suivez le guide à travers chacune des lettres du mot « p-a-r-a-d-i-s f-i-s-c-a-u-x ».
–Paradise Papers : l’abécédaire de l’optimisation fiscale