Ils se sont prêtés au jeu, nous les en remercions! Faites comme eux, rejoignez MetaMorphosis


Guillaume Meurice (site officiel) C’est encore lui qui se présente le mieux!
Facebook: Guillaume Meurice


Facebook: Philippe Pascot
Portrait de « Les Inrocks » Dans son livre “Pilleurs d’État”, il dénonce les abus des élus.
Philippe Pascot, écrivain, homme politique, milite pour une transparence totale de l’exercice politique et dénonce les comportements abusifs des hommes politiques. Il sort un 4e ouvrage : « Allez (presque tous) vous faire… » aux éditions Max Milo, avec en sous-titre : « il y en a moins qu’on ne le dit mais plus qu’on ne le sait ».


Le journal Politis
facebook: Politis
Qui sont-ils? Politis est un hebdomadaire généraliste indépendant, fondé en 1988 par une équipe de journalistes convaincue de la nécessité de croiser les préoccupations sociales et environnementales. Aucun sujet ne lui est étranger : de la politique à la société, de l’économie à la culture.


Fabrice Rizzoli Crimhalt
facebook: Crimhalt
Docteur en sciences politiques, spécialiste des mafias et du crime organisé, Fabrice Rizzoli milite pour que les biens récupérés par la justice soient restitués à la Société. Retrouvez son travail dans son dernier livre « La mafia de A à Z » aux éditions Tim Buctu (2015).
Présentation: Le lanceur

Contre la désinformation sur les paradis fiscaux

Ce mardi 05 décembre 2017, l’Union Européenne a publié sa liste des paradis fiscaux. Mr Pierre Moscovici, Commissaire Européen aux affaires européennes et monétaires, à la fiscalité et à l’Union douanière a déclaré : « il n’y a pas de paradis fiscal à l’intérieur de l’Union Européenne ».
Ces dernières années, l’ICIJ et ses médias membres ont publié un certain nombre de « leaks » affirmant à plusieurs reprises que par leurs pratiques, certains Etats y compris dans l’union Européenne, menaient des politiques assimilables à celles de paradis fiscaux. Il en est ainsi du Luxembourg, de l’Irlande ou de Malte, épinglés à plusieurs reprises par ledit Consortium.
Hors Europe, l’ICIJ, a notamment porté l’attention du public sur l’Etat Américain du Delaware qui n’est pas retenu par l’Union Européenne dans sa liste des paradis fiscaux.
En ces temps troubles de désinformation, « fake news » et « alternative news » qui représentent un réel danger pour nos démocraties et l’Union Européenne, nous, citoyens Européens, appelons la Commission et plus particulièrement son Commissaire Mr Pierre Moscovici, à faire cesser la divulgation d’informations fausses et l’atteinte qui est faite à la probité de certains de ses Etats membres. A partir du moment où l’Union Européenne atteste de l’inexistence de paradis fiscaux en son sein, il n’est pas acceptable, même sous couvert du droit à l’information, que certains puissent accuser des pays de pratiques d’encouragement voire d’aide, systématiques ou sectorielles, à l’évasion et ou à la fraude fiscale.
Il est du devoir de la Commission de protéger les citoyens européens en utilisant tous les recours nécessaires contre la divulgation d’informations fausses ou mensongères.
Par ailleurs, un telle démarche nous semble importante car elle permettrait de couper court aux suspicions éventuelles concernant les critères retenus pour établir ladite liste et, chose inconcevable, un traitement de faveur qu’aurait pu accorder l’Union Européenne à certains de ses pays membres ou amis.
Il faut absolument faire taire ceux qui pourraient remarquer que même si l’un des trois critères, (« se conformer au standard d’échange automatique de l’OCDE ») n’est pas respecté par certains Etats, cela n’entraîne pas une inscription sur la liste noire; faire taire ceux qui pourraient s’étonner que l’Union a refusé de passer la Russie sous les fourches Caudines de ses propres critères; faire taire ceux qui pourraient s’offusquer que l’Union ait refusé d’élargir sa revue à certains de ses propres membres généralement soupçonnés de pratiques discutables; enfin, faire taire ceux qui pourraient rire en constatant que cette liste, compilation des 18 listes noires européennes de 28 pays membres de l’Union, comportent certains pays mentionnés dans 9 des 18 listes qui ne se retrouvent pas au final dans la liste de l’Union. C’est à se demander quel crédit peut-on accorder aux pays qui mentionnent dans leur propre liste des paradis fiscaux des Etats membres de l’Union!
Pour toutes ces raisons, nous enjoignons le Commissaire Pierre Moscovici et la Commission, à mener une action forte à l’encontre de tous ceux qui divulgueraient des informations erronées pouvant remettre en cause l’infaillibilité de la doxa européenne : « il n’y a pas de paradis fiscal en Europe ».
Pour que les choses soient dites et claires.
Le bonheur des citoyens européens est à ce prix.

Contre la désinformation sur les paradis fiscaux

Ce mardi 05 décembre 2017, l'Union Européenne a publié sa liste des paradis fiscaux. Mr Pierre Moscovici, Commissaire Européen aux affaires européennes et monétaires, à la fiscalité et à l'Union douanière a déclaré : "il n'y a pas de paradis fiscal à l’intérieur de l'Union Européenne".
Ces dernières années, l'ICIJ et ses médias membres ont publié un certain nombre de "leaks" affirmant à plusieurs reprises que par leurs pratiques, certains Etats y compris dans l'union Européenne, menaient des politiques assimilables à celles de paradis fiscaux. Il en est ainsi du Luxembourg, de l'Irlande ou de Malte, épinglés à plusieurs reprises par ledit Consortium.
Hors Europe, l'ICIJ, a notamment porté l'attention du public sur l'Etat Américain du Delaware qui n'est pas retenu par l'Union Européenne dans sa liste des paradis fiscaux.
En ces temps troubles de désinformation, "fake news" et "alternative news" qui représentent un réel danger pour nos démocraties et l'Union Européenne, nous, citoyens Européens, appelons la Commission et plus particulièrement son Commissaire Mr Pierre Moscovici, à faire cesser la divulgation d'informations fausses et l'atteinte qui est faite à la probité de certains de ses Etats membres. A partir du moment où l'Union Européenne atteste de l’inexistence de paradis fiscaux en son sein, il n'est pas acceptable, même sous couvert du droit à l'information, que certains puissent accuser des pays de pratiques d’encouragement voire d'aide, systématiques ou sectorielles, à l’évasion et ou à la fraude fiscale.
Il est du devoir de la Commission de protéger les citoyens européens en utilisant tous les recours nécessaires contre la divulgation d'informations fausses ou mensongères.
Par ailleurs, un telle démarche nous semble importante car elle permettrait de couper court aux suspicions éventuelles concernant les critères retenus pour établir ladite liste et, chose inconcevable, un traitement de faveur qu'aurait pu accorder l'Union Européenne à certains de ses pays membres ou amis.
Il faut absolument faire taire ceux qui pourraient remarquer que même si l'un des trois critères, ("se conformer au standard d'échange automatique de l'OCDE") n'est pas respecté par certains Etats, cela n’entraîne pas une inscription sur la liste noire; faire taire ceux qui pourraient s'étonner que l'Union a refusé de passer la Russie sous les fourches Caudines de ses propres critères; faire taire ceux qui pourraient s'offusquer que l'Union ait refusé d'élargir sa revue à certains de ses propres membres généralement soupçonnés de pratiques discutables; enfin, faire taire ceux qui pourraient rire en constatant que cette liste, compilation des 18 listes noires européennes de 28 pays membres de l'Union, comportent certains pays mentionnés dans 9 des 18 listes qui ne se retrouvent pas au final dans la liste de l'Union. C'est à se demander quel crédit peut-on accorder aux pays qui mentionnent dans leur propre liste des paradis fiscaux des Etats membres de l'Union!
Pour toutes ces raisons, nous enjoignons le Commissaire Pierre Moscovici et la Commission, à mener une action forte à l'encontre de tous ceux qui divulgueraient des informations erronées pouvant remettre en cause l'infaillibilité de la doxa européenne : "il n'y a pas de paradis fiscal en Europe".
Pour que les choses soient dites et claires.
Le bonheur des citoyens européens est à ce prix.

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2 Mme Céline M. Déc 06, 2017
1 M Gilles M. Déc 06, 2017

Parce que la protection des lanceurs d’alerte ce n’est pas de la cosmétique !

Parce que la protection des lanceurs d’alerte ce n’est pas de la cosmétique !
Et, par conséquent, pourquoi il faut des initiatives telles que le collectif MétaMorphosis !
On s’entend dire ça assez souvent : mais il y a une Loi maintenant, et une lanceuse a même été relaxée…

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Mises en examen pour «financement du terrorisme» de trois cadres du groupe Lafarge

En mars 2011, pendant que la Syrie se soulève contre Bachar Al-Assad, la cimenterie de Lafarge Cement Syria (LCS), filiale du groupe français de matériaux de construction Lafarge, continue de tourner à plein régime à Jalabiya, dans le nord-est du pays. Pendant des mois, rien ne change, malgré la violente répression qui s’abat sur la plupart des grandes villes du pays, parcourues de manifestations contre le régime. A partir de l’automne 2011, en réaction, le mouvement de contestation s’est transformé en rébellion armée. Les combats gagnent peu à peu le pays. Le développement du conflit et l’instabilité croissante poussent les entreprises étrangères, dont les investissements avoisinaient 2,6 milliards de dollars en 2009, à quitter la Syrie. Mais pour la cimenterie Lafarge, rien ne change.
En savoir plus sur ici
Selon « le Canard enchaîné », le groupe a versé au total 5,56 millions de dollars à des groupes armés en Syrie d’après un rapport rédigé à la demande du groupe par le cabinet américain Baker McKenzie en avril 2017.
En tout, le groupe a versé 5,56 millions de dollars « au titre de ‘dons’ à de nombreuses factions armées locales en Syrie, y compris l’EI », indique l’hebdomadaire. Précisément, le montant des paiements destinés à l’EI s’élève à « au moins 509.694 dollars ».
Le ministère français de l’Economie a ensuite déposé plainte, déclenchant l’ouverture d’une enquête préliminaire par le parquet de Paris. Les premiers éléments de l’enquête sont accablants pour le cimentier. La direction de Lafarge «avait validé ces remises de fonds en produisant de fausses pièces comptables». Et Bruno Lafont, PDG de Lafarge de 2007 à 2015, semble avoir «couvert ces agissements».
Ce que révèle l’enquête judiciaire sur les agissements du cimentier Lafarge en Syrie: en savoir plus
Le groupe LafargeHolcim a confirmé, mardi 14 novembre, qu’une perquisition de police était en cours à son siège parisien dans le cadre de l’enquête sur sa cimenterie de Djalabiya dans le nord de la Syrie.Une enquête interne a confirmé que des paiements avaient été effectués à des groupes armés en Syrie et a jugé que des mesures visant à maintenir la cimenterie en activité étaient « inacceptables ».Plus d’info
Premières gardes à vue de trois cadres du Groupe Lafarge- ici
Les premières mises en examen:
Trois cadre du cimentier Lafarge ont été mis en examen, vendredi 01 décembre. La filiale syrienne du leader mondial des matériaux de construction est soupçonnée d’avoir versé de l’argent à des organisations terroristes comme l’Etat islamique entre 2012 et 2014.
Bruno Pescheux, directeur de l’usine de 2008 à 2014, et Frédéric Jolibois, éphémère directeur de l’usine à partir de l’été 2014, pour les chefs de « financement d’une entreprise terroriste », « violation de la réglementation relative aux relations financières avec l’étranger » et « mise en danger de la vie d’autrui ».
Jean-Claude Veillard, directeur sûreté chez Lafarge, est lui mis en examen pour « financement d’une entreprise terroriste » et « mise en danger de la vie d’autrui ».
Du journal le Monde: Mises en examen des cadres

Face à ces faits graves, un peu d’humour: selon Monsieur Coquerel de la France Insoumise, tous ces agissements n’auraient pu être mis à jour sans le travail de la « lanceuse d’alerte » Danièle Simonet! A la FI comme ailleurs, la récup à des fins politiciennes a de beaux jours devant elle…

Noël, le cadeau de la loi Sapin 2 – Le billet de Nicole Ferroni

Pourquoi le Père Noël a-t-il fait un cadeau de 300 millions de dollars à l’Etat français. Étonnée et jalouse, Nicole a regardé l’étiquette sur le paquet. C’est la banque HSBC qui faisait ce don en échange de sa grande bienveillance lors de son procès.
Le billet d’humeur de Nicole Ferroni dans le 7/9(8h55 – 29 Novembre 2017)

Loi Sapin 2: du rêve à la réalité

URGENT! Que celui qui bénéficie de la Sapin 2, nous fasse signe! Merci

Affaire Areva-UraMin

Perquisition au siège d’Areva dans l’affaire UraMin.
Areva a fait l’objet, mardi 28 novembre, d’une perquisition dans le cadre de l’enquête sur l’affaire UraMin, a annoncé une porte-parole du groupe nucléaire public, confirmant une information de M6. La porte-parole a confirmé que la perquisition avait eu lieu au siège du groupe, à la Défense, mais a refusé de faire d’autre commentaire.
En savoir plus: Du journal « Le Monde »

Rappel en vidéo- Pièce à conviction – Affaire Areva Uramin 3 milliards en fumée
En 2007, Areva, leader mondial du nucléaire civil, achète Uramin, une petite société minière canadienne, pour 1,8 milliard d’euros. Mais rapidement, les gisements, situés notamment en Namibie et en République centrafricaine, se révèlent inexploitables. Depuis avril 2014, la justice enquête sur cette affaire et sur les 3 milliards d’euros investis par Areva, une entreprise détenue à 87% par l’Etat. Les investigations doivent permettre d’identifier les responsables de ce fiasco, mais aussi de déterminer si cet argent a été détourné. En outre, quel a été le rôle d’Anne Lauvergeon, l’ancienne patronne d’Areva ? Et celui de l’Etat ? En plateau, l’enquête est suivie d’un débat animé par Patricia Loison.

Affaire UraMin : les preuves de l’escroquerie seraient à Monaco- A la recherche des fonds perdus
Selon l’auteur Vincent Crouzet la vente d’Uramin à Areva en 2007 a donné lieu au versement de rétro-commissions dont les traces existent encore dans 3 banques monégasques.

TROIS QUESTIONS À – Vincent Crouzet, expert en géopolitique, auteur de cinq romans d’espionnage,qui était à Meylan le 29 août. Son dernier livre, Une affaire atomique, plonge dans l’affaire UraMin, un désastre financier faisant suite au rachat par Areva de trois gisements d’Uranium inexploitables. Le tout sur fond de suspicions de corruption et de rétrocommissions.
UraMin – Areva : “Une affaire atomique” pour le géopoliticien Vincent Crouzet –
Uramin- Areva « Une affaire atomique »
Affaire Uramin-Areva : l’écrivain Vincent Crouzet entendu comme témoin

Toutes les enquêtes de Médiapart: AREVA DANS LE SCANDALE D’URAMIN

Le glyphosate, autorisé pour cinq ans

C’était le vote de la dernière chance. Ce lundi 27 novembre, les Etats membres de l’UE ont autorisé le renouvellement de la licence du glyphosate pour cinq ans, après deux ans de discussions sur le sort de cet herbicide, dont le caractère cancérogène fait débat.
Ici: Article Huffingtonpost

Comment Monsanto a financé des scientifiques en Europe pour défendre le glyphosate
Ici (du journal Libération): Révélations

À la lumière du procès symbolique de Monsanto tenu en 2016, Marie-Monique Robin expose l’ampleur du scandale sanitaire lié au Roundup, herbicide le plus vendu au monde. Un réquisitoire accablant, paroles de victimes et d’experts à l’appui.
Reportage ici: Le Roundup face à ses juges

Roundup : les premiers lanceurs d’alerte

Pétition Contre le glyphosate Stop Glyphosate European Citizens’ Initiative

Luxleaks : « La protection des sources a été bafouée »


Condamné au Luxembourg dans le dossier Luxleaks, le lanceur d’alerte messin Raphaël Halet, avec un journaliste, contre-attaquent. Demain, à Metz, ils réclament l’annulation d’actes de procédure. En jeu : la protection des sources.
Le Républicain Lorrain

Mondial de foot au Qatar: une filiale du Crédit mutuel est dans le viseur

Selon nos informations, la justice brésilienne et le FBI américain enquêtent sur un virement de 22 millions de dollars effectué par le Qatar, via une filiale du Crédit mutuel, en lien avec le scandale de corruption sur l’attribution du Mondial de foot 2022 à l’émirat. Révélations.

La banque française Crédit mutuel-CIC a-t-elle, par l’entremise d’une ancienne filiale, servi de plateforme de corruption dans le cadre de l’attribution du Mondial 2022 au Qatar ? C’est ce que soupçonnent désormais les enquêteurs du FBI et de la justice brésilienne. Selon nos informations, les procureurs de ces deux pays ont identifié un versement de 22 millions de dollars en provenance du Qatar sur le compte ouvert à la banque Pasche Monaco par l’ancien président de la fédération brésilienne de football (CBF), Ricardo Teixeira, peu après le vote de décembre 2010 qui a attribué le Mondial au Qatar.
Mondial de foot au Qatar: une filiale du Crédit mutuel est dans le viseur